L'une des séquences les plus insérées par les ami(e)s  de Yuvutu est le handjob de la bite par l'amante et , en tant que femme, j'apprécie cette activité sexuelle dont le spectacle  m'excite et  que j'aime pratiquer sur la queue de l'homme qui vit avec moi. Je commence toujours par un massage des couilles. Je triture la peau poilue du scrotum pour faire rouler entre mes doigts les deux bourses emplies de foutre. En faisant cela,, la bite se dresse et en tirant la peau des couilles vers l'anus, le gland,  tout rouge de timidité, sort à l'air libre. Avec mon autre main, je serre la tige et j'entreprends de la faire coulisser dans la cage serrée de mes doigts en prenant soin de monter et de descendre sur toute la longueur de la verge, en crachant de temps en temps un peu de salive sur la tête du pénis. Yves ( mon homme ) aime particulièrement que mes mouvements  de doigts insistent sur le gland dont je frotte et tripotte la couronne. Ma première main glisse de temps en temps depuis les couilles jusqu'à l'entrée du cul pour le flatter , le détendre  et me permettre de le pénétrer avec l'index  jusqu'à sentir la boule de la prostate. Un tel traitement conduit au résultat recherché. La bite commence à frémir, la fente du gland laisse apparaître des gouttes d'humidité claire puis s'entrouve et finit par gicler des jets de foutre blanc qui bien souvent retombent sur ma main en répandant leur chaleur et leur odeur aphrodisiaque; J'aime en soi la branlette quand c'est moi qui l'administre à la bite de mon amant. Et c'est souvent pour nous  le prélude à la copulation vaginale ou anale parce que, une fois qu'Yves , par mes caresses , rebande  et qu'à son tour il a excité mon corps "du sol au plafond",  la pénétration  de sa verge dans l'un de mes orifices dure toujours  plus longtemps avant de décharger sa bonne liqueur de couilles ! J'en appelle à votre propre expérience .....et à vos commentaires dont la lecture, même s'ils sont  vifs,  épicés et crus, est un plaisir qui m'incite à écrire !